Baltazar débute le violon à l’école de musique de son petit village de Provence. Il a le tempérament d’un méridional, il ne retient pas grand chose de l’académisme et de la technicité qu’on s’efforce de lui inculquer. Lui, il s’intéresse aux émotions, aux sonorités : le language universel. Baltazar joue du violon avec son coeur et l’esprit lui provenant de ses rencontres, de ses nombreux voyages et de son identité italo/­hongroise. Il étale ses palettes sonores sur des musiques allant de “l’electro déjanté” franco-japonais de Redrails à des moments de pure douceur en duo avec l’accordéonniste belge Sophie Cavez en passant par les projets de rencontres multiculturelles de La Compagnie Montanaro. Il se produit en solo et dans quelques performances de musique improvisée. Il s’adonne aussi à son autre talent qu’est le dessin en publiant deux albums de bandes dessinées aux éditions de l’Oeuf à Rennes.